Le chemin Dexport

Du front de mer, montée par la rue François Isautier, à gauche dans la rue des Bons-Enfants, puis à droite dans la rue Caumont, à gauche dans la partie de la rue François de Mahy en double sens, le feu rouge (inutile) - sauf en définitive pour les autos qui continuent tout droit malgré le zébra qui l'interdit ... Je monte à droite la rue Luc Lorion et au premier rond-point, un coup d'oeil à gauche  vers le cirque Raluy... puis à droite pour traverser le parking d'Hyper Crack, je sors par la rue Bory de Saint-Vincent, que je remonte jusqu'au rond-point, je continue tout droit dans le chemin de Jolifond, puis à droite dans la rue Antoine Bertin, je tourne à gauche dans la rue des Cimendefs, puis à gauche pour suivre la rue Youri Gagarine. Tout droit, pour monter la rue Jules Hermann, puis la rue Carou, et c'est le stop de la Ligne Paradis. A gauche, passage sous le pont de la quatre-voies, devant le Cirad et la Maison de l'agriculture, la remontée vers le chemin de la Salette, le chemin Luspot, et je continue la Ligne Paradis jusqu'au chemin Palma que que vais descendre. Tout en bas, la route goudronnée récemment s'arrête, c'est le canal St-Etienne.
La Vallée
Je continue le chemin dans les herbes, à droite et je traverse la passerelle sur la ravine des Cabris. Je suis maintenant sur le chemin Vélia, qui longe le foyer Albert Barbot, et qui vient d'être goudronné. Je tourne à gauche en épingle à cheveux dans le chemin de terre entre les cannes. On traverse alors le canal qui, lui, continue en faisant une grande courbe vers le sud-ouest, jusqu'au bras de la Plaine. Je suis le chemin de terre, toujours bordé à gauche d'une belle haie d'embrevates, et aujourd'hui, je continue tout droit au niveau des poteaux électriques, mais je vais tout droit, en passant le long de la haie de poteaux téléphoniques, coupés à différentes hauteurs, sans doute pour mettre plus tard du fil barbelé .... Le chemin tourne ensuite à droite, on est arrivé à une magnifique prairie artificielle - c'est vrai qu'il y en a de plus en plus à Pierrefonds, et que la canne perd du terrain ! - le chemin est bien tracé, avec une touffe d'herbes au milieu, il tourne ensuite à droite dans une grande courbe, on est maintenant à la limite d'un remblais, le collège de Bois d'Olives est bien visible, à droite. Le chemin arrive à une grande allée, parallèle au CD 26. Je descends donc vers Pierrefonds, entre les cannes. Je passe devant plusieurs maisons d'agriculteurs.  J'arrive à une zone ou le chemin est entièrement recouvert de paille de canne qui sèchent. Je tourne à droite au chemin Dexport pour revenir vers la route de Bois d'Olives.
Le chemin Dexport
Je vais retrouver la route de Bois d'Olives en tournant à droite au chemin Dexport, au niveau  du parc Exotica. Je tourne dans Pierrefonds à droite au chemin Cachalot, et je vais vers la plate-forme.
La plate-forme de réception des cannes de Pierrefonds
Je passe devant les vieux bâtiments au nord de l'usine et arrive sur la plate-forme. La grue ne fonctionne pas, et seul une remorque attend, sous le portique, qu'un cachalot arrive... Je vais à l'ancien local du CTICS (Centre technique interprofessionnel de la canne et du sucre) où sont affichées toutes les statistiques. Un planteur cherche justement son numéro et la ligne de ses résultats cumulés depuis l'ouverture de la campagne... Dans l'ensemble du tableau, les richesses vont de 12 à 15%, et la moyenne actuelle semble plus élevée que celle de l'année dernière à même époque. Un camion arrive justement devant la sonde. Le conducteur du tracteur regarde sur le tableau l'affichage de la position (il y en a neuf), et il déplace en conséquence la sonde... Elle s'enfonce dans le chargement en biais, jusqu'au trait blanc, et revient. Le conducteur place un sac en plastique blanc sur la sonde et déclenche à l'aide d'une corde le piston qui va éjecter le prélèvement (au minimum 2.5 kg). Il bague le sac et y accroche l'étiquette d'identification. Toutes les heures, une camionnette vient récolter les sacs pour les porter au Gol pour l'analyse. Je repars, je passe sur le pont de la quatre-voies et je descends l'allée des Cèdres jusqu'au bout de la piste.
Lire la visite de l'usine sucrière du Gol
L'aéroport
Je tourne à gauche et vais suivre le grillage de l'aéroport,  jusqu'au parking des autos, à gauche, au bord de la piste. Tout est désert... Je continue la route vers l'est le long de la piste, au delà du parking des autos. Superbe vue à 180°sur les hauts ! Tout est dégagé, il n'y a juste que la tour de séchage des parachutes du 2è RPIMA qui dépasse un peu au-dessus des cannes, et un fil téléphonique, qui se perd dans l'arrière-plan. L'arrivée à Pierrefonds est certainement plus spectaculaire que celle de Gillot ... même si en finale, on a une vue à gauche sur une zone de stockage de carcasses d'autos ... Je continue vers le bout de piste vers l'est, je suis doublé par un vtt. C'est maintenant la route empierrée, elle tourne à droite en longeant le bout de piste, pour arriver à l'ancienne voie du chemin de fer. Je suis la voie toujours vers l'est, avec d'abord à droite la déchetterie, puis la station d'épuration, on arrive ensuite au niveau du pont sur la ravine des Cabris, puis c'est "Le Velours", on roule le long des plaques de gazon, juste à gauche, derrière un remblais). Voici un deuxième pont, beaucoup plus en hauteur, qui permet d'arriver au site de l'ancienne décharge.
L'ancienne décharge réhabilitée ...
Je prends le chemin empierré à droite, qui fait le tour de la butte de terre, je passe le Cap Rond. L'herbe devient bien visible, même du côté mer ! Pour une fois, peu de vent dans ce secteur, c'est rare. Je ne descends pas l'escalier pour traverser la zone sableuse, mais je sors par le portail, désormais ouvert. La meute de chiens, à droite n'aboie plus !Je vais faire une centaine de mètres sur la nationale pour tourner à droite à Saline Balance, je traverse maintenant l'ancienne station d'épuration, Je longe par le sud la zone de dressage de chiens, encore une coulée de tuf. Aujourd'hui, le vent s'est levé, la houle également, et la zone recouverte par les algues n'est plus visible, comme hier.  Je continue vers la voie du chemin de fer, passe les oratoires, longe la côte pour arriver au parking Cora, puis au front de mer.

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