La Vallée et le Cap Rond

Du front de mer, montée par la rue la rue Luc Lorion, continuer ensuite par le chemin de la Salette, tourner à gauche pour passer sur le pont au-dessus de la quatre-voies, et aller au rond-point devant les 3B, où je tourne à droite pour redescendre vers la zac Canabady.
La zac Canabady
Une belle pente tout d'abord, absorbé les autres fois, je n'avais pas vu l'arbre à droite en contrebas, avec une quantité de nids de béliers, tous remplis... Plusieurs nids sont récents, les brindilles sont encore vertes  !  Une envolée de moineaux à mon passage, qui vont quelques mètres loin. A droite, la descente vers l'allée Jacquot. Des coupeurs sont au travail. J'arrive à l'allée Jacquot. Le coin opposé au petit bois est maintenant complètement coupé, et des petits manguiers sont maintenant visibles ! Le chemin est jonché de paille de canne. J'arrive au lit de la ravine Blanche, le carton de bombes de déodorant est maintenant tout écrasé ..., je remonte de l'autre côté, un petit talus, et c'est le chemin Badamier.
Vers La Vallée
Je monte le chemin Badamier que je remonte, je passe le chemin de Frédeline, l'allée de Mon Repos, le vendeur d'eau de coco avec les trois rangées de haricots verts qui poussent tout le long de la route, devant la clôture,  juste au-dessus de la canalisation des eaux pluviales qui vient d'être enterrée ici. C'est cela une bonne occupation de l'espace !e tourne à gauche au chemin de terre qui monte à droite, entre des maisons. Je le prends et arrive rapidement sur une hauteur. C'est une zone herbeuse sèche, couverte d'acacias, avec des chocas.
Un cimetière de voitures ...
La vue vers l'entrée du cirque de Cilaos est splendide, la cheminée du domaine de La Vallée est bien visible au loin, et ici, pas de poteaux électriques ni de fils pour gâcher la photo, seuls des mats de chocas, bien fleuris, sont en premier plan ! Le seul hic, et il est de taille, c'est que la zone est un véritable cimetière de voitures, de camions, des carcasses souvent rouillées et qui semblent être là depuis longtemps, mais aussi des modèles plus "récents" ... entre autres détritus.  J'arrive à un croisement. Tout droit, le chemin redescend et se dirige vers le lit de la ravine des Cabris et une zone plantée en cannes. je tourne à gauche, vers le sud, pour suivre le plateau. Le torse de mannequin en polystyrène n'est plus là, dans son arbre, je vais le retrouver un peu plus loin, pulvérisé .... Toujours des carcasses sont visibles, entre les mats de chocas ... Maintenant, nous longeons des cannes, à droite. Une allée descend en biais à gauche vers les bâtiments de la ZI 3. Je continue tout droit, le chemin remonte, nous entrons dans une zone plus boisée. Je croise un camion de la commune. A droite, assis derrière un vieux camion, un homme et une femme me saluent.
Sur la coulée de tuf
C'est maintenant de nouveau une descente, le chemin est alors comme pavé de petites pierres. J'arrive maintenant sur le tuf, il n'y a pratiquement pas de terre dessus. On entend déjà le bruit des autos sur la quatre-voies. Soudain, les bâtiments de la zone industrielle apparaissent au ras des arbres. La quatre-voies est en contrebas. Je tourne à droite. Le chemin remonte tout d'abord en longeant la quatre-voies, puis redescend dans le lit de la ravine de Cabris. C'est maintenant le bitume, je remonte de l'autre côté et je tourne à droite dans l'allée juste avant le vendeur de véhicules d'occasion. A droite, de la prairie, puis on arrive à une zone non cultivée, couverte d'acassis, et il faut maintenant prendre l'allée à droite, bientôt un virage à droite, nous sommes de nouveau dans les cannes, avec plusieurs panneaux "chasse interdite", et des trouées de cannes déjà coupées. A droite, un petit chargeur à trois roues est en action, il est étonnamment maniable ! encore un virage en S, et les maisons de Pierrefonds sont en vue au loin. Voilà le CD26.
Pierrefonds
Je vais tout droit dans le chemin cachalot, puis je tourne à droite vers la plate-forme. Personne n'est à la grue de 3 tonnes ... mai, par en bas, le chargement d'une remorque va être chargée dans un cachalot. Ici, le portique ne se déplace que latéralement, et le grutier est obligé de klaxonner plusieurs fois pour que le chauffeur avance un peu le cachalot ... la partie avant est déjà bien remplie, il faut maintenant remplir l'arrière ! A côté, à la bascule, trois camions sont en attente. Je repars vers le chemin Guillaume, remonte un peu plus haut et tourne à droite à la première allée. Monsieur Jean-Yves est toujours là avec son fils. Il a déjà porté son premier chargement hier. Il m'explique qu'il ne faut pas trop dépailler les cannes, car alors, elles glissent et sont difficiles à charger ... Je redescends vers l'usine, je repasse devant la plate-forme et descend vers la quatre-voies le long du stade. Je m'arrête un instant à l'école, c'est le dernier jour de classe. Je reviens sur le CD26, je passe sur le pont - les camions amènent toujours de la terre à la décharge, le niveau monte, bientôt on ne verra plus la pointe de l'Etang-Salé ! - Je tourne à gauche pour prendre l'ancienne nationale 1, je passe le 2èRPIMA, la Vallée Syndicat, je descends le radier de la ravine des Cabris et remonte - depuis la réfection de cette partie de route, le radier a été bien surélevé, et la remontée est plus facile ! Je longe la zone industrielle, Weldom, et aujourd'hui, nouveau parcours, à droite dans le chemin Beaurivage. J'arrive à un grand bâtiment en construction et à Hortigreen, les champs de gazon sont là, devant moi, et je n'ose continuer. Je fais demi-tour quand un employé me crie que je peux continuer à descendre vers la mer ... C'est vraiment sympathique ! Je continue donc vers la mer, en longeant les champs de gazon, à différents stades de pousse. Certains ont été déjà tondus. Vers la fin, le chemin devient boueux, avec un mélange de bagasse et les derniers mètres avant de retrouver la voie de chemin de fer sont pénibles ...
Le Cap Rond
Le dernier pont sur la ravine des Cabris est franchi, c'est le Cap Rond, je vais tout droit, au milieu de la butte, pour sortir par le portail désormais ouvert. Aujourd'hui, un chien aboie et déclenche une réaction en chaîne de ses congénères. J'arrive à la nationale, à droite vers Saint-Pierre sur une centaine de mètres, puis je tourne à droite pour traverser l'ancienne station d'épuration, tout est ouvert, le chemin repasse sur un pont. A droite, une mare d'eau, avec des lentilles vertes à la surface, et une magnifique touffe de songes et de cannas, c'est une véritable petite oasis, bien enfoncée au milieu de cette zone plutôt aride ... Je longe par le sud la zone de dressage de chiens, encore une coulée de tuf. La mer est encore haute. J'arrive à la pointe du Diable - la jetée de la Saline. Je continue vers la voie du chemin de fer, passe les oratoires, longe la côte pour arriver au parking Cora, puis au front de mer, qui est décoré de drapeaux tricolores tendus en hauteur de chaque côté des lampadaires. Pas de feu d'artifice pour le 14 juillet, l'importateur a été défaillant, mais des jets d'eau et des couleurs !

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